Les mystères de l’Egypte antique et du peuple Bamiléké au Cameroun

A travers la langue Bamiléké, l’égyptien antique a survécu au fil des siècles, contrairement à toutes les autres langues humaines et a gardé et conservé son sens et ses racines profondes.

Les falsifications idéologiques diverses et variées des égyptologues occidentaux dénient à l’Afrique la maternité de l’Egypte ancienne, mais Medu Neter à travers l’argument linguistique palpable est une preuve incontestable de son origine africaine noire.

Les égyptiens anciens en appelant leur langue le Medu Neter voulant dire « langue des Dieux ou la langue, parole sacrée, et en la rendant éternelle à travers des hiéroglyphes ont été inspirés par le Créateur (le grand architecte du monde). Ils ont fait usage de leur don de prescience, en anticipant qu’a une époque lointaine, elle permettrait à leurs descendants perturbés et désorientés par les affres et avatars de l’histoire humaine de retrouver et de s’inspirer de leur grandeur. Le Medu Neter a survécu au fil des siècles, contrairement à toutes les autres langues humaines et a gardé et conservé son sens et ses racines profondes à travers la langue bamiléké, le « Medu MBa » (Medumba) qui est la langue mère de toutes les langues bamilékés. Nous notons que l’on retrouve là aussi la racine « Medu » qui signifie « les paroles » dans ces deux langues.

Le Medu Neter a survécu comme pour faire un pied de nez à l’histoire et témoigner de la grandeur et du génie du peuple originel de l’histoire de l’humanité : les africains. Il a survécu comme pour restituer ses legs à ses descendants, avec pour effet de permettre leur réhabilitation dans leur intégrité culturelle.

Cette contribution va vous apporter les preuves linguistiques de son appartenance à l’Afrique à travers la langue bamiléké qui est une langue parlée à l’ouest du Cameroun, par un peuple appelé : les Bamilékés. Pour cela nous allons vous livrer la traduction française de quelques mots choisis par nos soins d’un livre « The Truth with Capital T. and The Divine Words have the shape of the beautiful knife »* écrit en anglais aux Etats Unis par un jeune chercheur afin de prouver nos assertions.

toutankhamonCe chercheur explique et prouve dans son livre que le Bamiléké (Medu MBa) a conservé de façon exceptionnelle toutes les racines du Medu Neter. Tous les mots clés expliquant le mode de pensée, d’organisation et la mythologie del’Egypte ancienne se retrouve à l’identique en terme de phonétique et interprétatif dans la langue Bamiléké. De même l’auteur démontre les similitudes troublantes entre la langue hébraïque ancienne (ancien hébreu) et la langue bamiléké.

La langue égyptienne ancienne telle que nous la connaissons par les hiéroglyphes a été déchiffrée par un illustre chercheur français, Champollion Jean François. Ces hiéroglyphes ont été transcrits et translittérés d’après les conventions linguistiques des langues européennes occidentales ( français et anglais )en utilisant l’alphabet romain de 26 lettres. Surtout, le déchiffrement et l’écriture ont été faits loin du contexte linguistique et culturel africain.

Les hiéroglyphes ont donc été translittérés et interprétés par les égyptologues occidentaux conformément à leur entendement et psychologie, en fonction de leur modèle culturel.

De ce fait, les sons gutturaux originels qui caractérisent les langues africaines ont été sacrifiés et ont disparu dans l’écriture actuelle. Les sons ont été modifiés, omis, la voyelle « e » qui n’existe pas dans la langue Medu Neter a été ajoutée par convention entre deux consonnes pour « faciliter » la lecture. En conséquence, l’interprétation et la signification des mots ont été gravement altérés et perdues parfois leur sens originel.

Le double entendre est la caractéristique fondamentale du Medu Neter (l’égyptien ancien). En quelque sorte un mot a toujours plusieurs significations comme c’est le cas dans la langue bamiléké. Il a donc une signification sémantique, figurative, littérale et symbolique.

Le double entendre et la signification littérale sont les approches les plus importantes dans l’interprétation des hiéroglyphes, langue africaine sacrée, car les égyptiens anciens parlaient en paraboles. Ils utilisaient des images et symboles pour s’exprimer, comme on le fait dans le Bamiléké et les autres langues africaines.

Comme le Medu Neter, le Bamiléké (Medu MBa) a conservé la même structure consonantique. On trouve donc en Bamiléké la prédominance des sons et consonnes : K, M, N, T, P, H, dans les mots de cette langue comme dans les mots de l’égyptien ancien.

L’expression « Medu Neter » en Medu MBa , réécrit avec le son et syllabe gutturaux donne ceci : « Me’djoup », pour Medu ; et « N’ta’h » pour « Neter » qui signifie en Bamiléké : « Je dis la Sagesse ou les paroles de sagesse, les paroles du sage », donc les paroles du Dieu de la sagesse Ptah. On retrouve donc ici la même explication, fonction sémantique et symbolique de ce mot en Bamiléké.

Je vous livre ici, dans cette contribution, quelques mots choisis par mes soins, parmi tant d’autres (Cf. : le Livre) pour attester de la parenté génétique et linguistique des deux langues.
TA

Dans le livre  » Illustrated Hieroglyphic Handbook » de Ruth and Stephane Rossini, p 216, le mot «TA» est défini littéralement comme la terre, « Ta  » = terre.

En langue Bamiléké, le son « Ta » signifie le bout de terre, ou le centre d’une terre, d’un terrain, ou un bout de terre entouré d’eau.

TA’SHE

Dans le livre « Ancient Egypt » de Magaret Bunson, p 88, on trouve le mot « TA’SHE », il est défini littéralement comme signifiant : la terre des lacs.

« Ta’she » littéralement en Bamiléké, langue ancienne egyptienne signifie son par son « NTA’ » = bout de terre ou de terrain, « She » ou « Shi » signifie l’eau.

L’explication littérale mise ensemble « Ta’she, nta’nshi » veut dire un bout de terre avec de l’eau ou un bout de terre immergée d’eau. Ou de façon figurative « lands of lakes »

NUN

Dans le livre « Mammouth Book of eyewitness, ancient egypt » de Jones Levis, p 506, le mot « Nun » est défini littéralement comme Nun signifiant « l’eau noir du chaos », ou « l’eau noir provoquant le chaos, l’eau noir provoquant les malheurs ».

Le mot NUN ou NOUN en français, est le nom d’une rivière au Cameroun. La petite histoire autour du mot « Nun » est la suivante. Les anciens égyptiens étaient très « superstitieux ». Ils croyaient que l’eau qui avait une couleur noire pouvait provoquer la malchance ou des grands problèmes et troubles aux gens. Ainsi quand ils ont émigré au Cameroun vers le 8-9 e siècle, fuyant les invasions musulmanes qui les pourchassaient, ils se sont trouvés face à une rivière qui avait une eau de couleur noire. Cette teinte noire de cette eau, leur rappelait la croyance ou superstition qui prévalait en Egypte ancienne. Ils ont appelé alors cette rivière Nun ou Noun en français. Une partie du clan ou tribu a refusé de traverser la rivière, à cause de la superstition à propos du chaos, des malheurs ou problèmes que cela pourrait engendrer sur le peuple. Cette partie du clan est donc restée sur la terre en amont de la rivière, ne la traversant pas de ce fait. Cette partie du clan a été rattrapée par les musulmans et est devenue musulmane elle-même. C’est ce peuple qui est aujourd’hui appelé B AMUN = BAMOUN.

Leurs autres frères, membres du clan, ne voulant se faire rattraper par les musulmans ont traversé la rivière et ont trouvé refuge dans les montagnes volcaniques de l’ouest du Cameroun. Ils n’ont jamais été rattrapés par les musulmans, ce sont les BAMILEKES.

IMOTEP ou IMHOTEP

Imhotep est le nom d’un personnage illustre ancien égyptien. Il est décrit comme un grand scribe et surtout comme un grand architecte, bâtisseur des pyramides.

Il y a plusieurs noms similaires en bamiléké, tel que Ytembe ou Itembe, Imga ou Yimga, Wepur I, etc. Tous ces noms portent en commun la racine du son « I ».

Le mot « Imhotep » défini littéralement en langue bamiléké – ancien égyptien est le suivant :

« I » : regarde, voit, il y a

« M » prononcer comme une semi consonne et semi voyelle, soit « Mo » : l’enfant, enfant

Le son de la voyelle « O » est une exclamation.

Le son, prononcé gutturalement de « T » veut dire la tête.

Le son de « P » prononcée comme une semi voyelle, veut dire : les gens, le peuple.

« Otep » : louange, qui veut dire : « O, notre tête » (par signifier le roi, le leader, le meilleur de nous, etc.…)

Donc Imhotep veut dire en Bamiléké : « O » voici un enfant qui est le meilleur, le leader du peuple, ou bien : il y a, regarde, loue un enfant qui est le meilleur, le premier.

Le double entendre et la signification de la communauté (sous entendu son clan d’origine) de « Imhotep » est la suivante : Il y a, voici, regardez un enfant (citoyen) qui accomplira les choses les plus louables pour Dieu.

Cette définition littérale en bamiléké s’inscrit totalement dans la description de la fonction et de l’œuvre d’IMHOTEP.

MOSES ou MOISE

Dans le livre de Ruth Antelme & Stéphane Rossini dont le titre est « Hieroglyphies Handbook », p. 9, le mot « moses » est défini littéralement comme, Moses ( Moise en français ) signifiant être né, ou donner naissance.

En Bamiléké, le mot « moses » signifie son par son, « Mo » enfant, « Se » ou « Ze » = donner naissance. L’autre double signification du mot « Se » ou « Ze » est : l’eau.

Le son « Se » ou « Ze » doit être prononcé avec un léger accent. « Se’ » = l’eau ou « shi’ » = l’eau.

La signification littérale mis ensemble avec le mot « moses, (moise) », dans la langue bamiléké- ancienne égyptienne, « mose »= un enfant né dans l’eau ou un enfant de l ‘eau.

La signification littérale correspond à l’histoire de Moise. Il aurait été trouvé dans une corbeille, flottant sur le Nil par la fille du pharaon. Ainsi l’enfant de l’eau, l’enfant né de l’eau, ou l’enfant trouvé dans l’eau est la signification figurative. La signification littérale bamiléké apporte plus d’informations.

Les sons « Moise » ou « Mose » sont les mêmes sons. On retrouve ces sons dans les noms de Ramose (Ramsès) et Thoutmosis. L’appellation de Ramsès et Thoutmosis est issue des mots transformés afin que celle ci soit accommodante pour les égyptologues modernes occidentaux. L’écriture la plus juste de ces noms, proche du son originel sont pour Ramsès : Ra’ Mo’ Ze ou Ra’ Mou’ Ze et pour Thoutmosis : Thu’thmo’ze ou Thot Mou’ Ze.

Si l’on lit le nom de Ramsès de bas en haut, nous serons plus proche de la prononciation originale de son nom. Cela donnera : Ze Mo Ra à la place de Ra’ Mo’Ze qui a constitué le nom de Ramsès.

Cette suggestion peut être trouvée dans le livre de Lucia Ghalin, p 75, ou elle dit : « …un des noms que le roi a pris à sa naissance, parmi les cinq autres noms était « Semora » qui signifie le fils de « Re. » Plusieurs livres sur l’Egypte ancienne ont mentionné Semora à la place de Ramose ou Ramsès. Mais Ramsès semble avoir emporté l’assentiment auditif des traducteurs occidentaux modernes grécisant.

ABRAHAM

Dans Genèse, livre de la Biblechapitre 12 verset 10, le nom de Abraham est écrit Abram : « Ainsi Abram est descendu en Egypte….. ». Au chapitre 17, du même livre, verset 5 à 6, il est écrit que Dieu a changé aussi le nom d’ Abram. Il a changé le nom d’ Abram en « Abraham ». Dieu a dit dans le verset 5 à 6 : « … Désormais ton nom ne seras plus Abram (Père éminent) mais Abraham (Père de la multitude), car je ferais de toi le père d’une multitude de peuples. »

Ainsi le mot « Abraham » veut dire le père de la multitude.

La signification littérale de ce mot en langue Bamiléké ancien égyptien-hebreu est la suivante après avoir écrit le mot Abraham en phonétique gutturale : Nbr’Ha’m ou Br’ha’M.

Son par son, Nbr’ : le premier, ce qui est devant, Ha’m : le nombre 10, figurativement milliers, plusieurs, incomptable.

Mis ensemble, la signification littérale son par son donne ceci. « Abraham= Nbr’Ha’M » : Le premier des dix (10) ou le premier parmi plusieurs, ou le premier parmi les milliers, ou le premier parmi la multitude. La signification littérale en Bamiléké concorde avec la signification figurative.

BAMILEKE

Les Bamilékés sont les frères du groupe des B Amoun qui ont décidé de traverser la rivière du « NUN », en dépit de leur connaissance du mythe de l’Egypte antique qui disait que « L’eau de couleur noire apporte le chaos, les malheurs, la malchance ». Plusieurs faits montrent qu’ils ont traversés cette rivière à l’eau noire malgré tout car ils ne voulaient pas être rattrapés par les musulmans.

Contrairement aux BAmoun, qui s’identifient au Dieu Amon, les Bamilékés s’identifient par leur origine, celle de la Haute Egypte antique.

La signification figurative des Bamilékés est la suivante : descendants des anciens égyptiens.

Le mot « Bamiléké » est une appellation moderne, pour faciliter la lecture dans les langues occidentales.

BA’ Mieh Lah Ke’ est la l’appellation la plus proche de prononciation originale gutturale.

La signification littérale du mot « Bamiléké » son par son est la suivante :

BA’ : Les, ceux de (pour designer l’origine géographique de quelqu’un)

Mieh : les frères

Lah : le pays, la région

Ke’ : Haut, le haut, ce qui est en haut d’un endroit, une région, d’une terre.

Haut en parlant d’un pays ou d’une région en Afrique, il s’agit de la Haute Egypte.

Rappelons que les égyptiens anciens n’appelaient pas leur pays « Egypte ».Ils appelaient leur pays, « Haut pays » et « Bas -pays » ou KEMET pour les égyptologues modernes.

Nous sommes fondés à penser à travers le Bamiléké que l’on peut dire que Khe’Mieh= KEMET. Cela impliquerait donc que KEMET veut dire : Les frères du Haut Pays, ou les frères de la région haute, renvoyant à la Haute Egypte. Le haut chez les égyptiens anciens était le bas (dans l’entendement actuel), et le bas désignait le haut. Le haut dans l’entendement des égyptiens anciens désignaient donc le Sud. On sait qu’ils ont toujours désignés le Sud comme le point cardinal originel de toute leur culture et source La signification actuelle de Kemet voulant dire : « le pays des noirs, ou le pays de ceux qui sont noirs, brûlés » est le double entendre.KEMET signifiant « les frères du haut pays ou les frères de la Haute région, Haute Egypte, correspond mieux à l’esprit et au mode de pensée des anciens égyptiens. Rappelons qu’un mot égyptien ancien comme un mot africain possède plusieurs significations donc la graphie ou son « Khe » a plusieurs significations et interprétations selon le contexte.

Khe veut dire aussi en Bamiléké : brûlé, noircir, noir, etc., …

La Haute Egypte à l’époque était le lieu de tous les pouvoirs de KEMET.

Ainsi mis ensemble son par son, la signification littérale de Bamiléké veut dire : Les frères qui viennent du Haut- pays, de la Haute Egypte ( du sud de l’Egypte).

Sources: egypt-tehuti.org

 Bibliographie

The Truth with Capital T and The Divine words have the shape of a Beautiful Knife, written and told by an ancient Egyptian

Auteur : Jean -Claude Crhi

©Les mots choisis sont issus de la traduction française du livre de Jean -Claude Crhi. Auteur : P. Mandjudja Nguegang

Email : mandjudja@gmail.com

 

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11 Commentaires
  • Ngankap
    avril 29, 2014

    Bonjour
    Votre histoire du point de vue linguistique pourrait peut-être avoir un sens. Mais le point de vue de quelques évènement historiques que vous avez mentionnées, risque de discréditer vos efforts. Vous dites qu’au 9è siècle les bamilékés fuyaient les invasions musulmanes pour se retrouver au dans la région du Noun actuelle, aucune histoire ne situe l’islamisation de certains peuples du Cameroun en cette période; plus encore vous dites que les bamilékés de nos jours sont ceux qui ont continué à fuir cette invasion musulmane et que leurs frères restés sur l’autre rive sont devenus musulmans. En regardant l’histoire des bamouns l’islamisation d’une partie de ce peuple n’est survenu qu’au début du 20è siècle. Si du point de vue linguistique il peut avoir un sens, du point de vue histoire, il ne peut être soutenu; les évènements que vous avez cités contredisent toute votre démonstration

    • Njitack Njitack
      mai 8, 2024

      En regardant l’histoire des bamouns l’islamisation d’une partie de ce peuple n’est survenu qu’au début du 20è siècle. Si du point de vue linguistique il peut avoir un sens, du point de vue histoire, il ne peut être soutenu; les évènements que vous avez cités contredisent toute votre démonstration.FAUX. L’auteur n’a jamais cité quand les BAmoun se sont islamise et même quand tu vas sur Wikipedia on t’informe que les bAmoun se sont islamise bien avant le 20eme siècle.
      Vous dites qu’au 9è siècle les bamilékés fuyaient les invasions musulmanes pour se retrouver au dans la région du Noun actuelle, aucune histoire ne situe l’islamisation de certains peuples du Cameroun en cette période; plus encore vous dites que les bamilékés de nos jours sont ceux qui ont continué à fuir cette invasion musulmane et que leurs frères restés sur l’autre rive sont devenus musulmansFAUX. des historiens ont retracé la marche des bamileke jusqu’au Cameroun actuel et tout concorde de leur passé dans les sultanat de sokoto jusqu’à leur installation au 9 eme siècle au Cameroun actuel. Vous êtes juste contre le fait de lie une paternité d’égyptienne antique aux bamileke. Mais alors pourquoi c’est ça la vrai question.

  • Néfertiti
    juin 20, 2014

    Trés interessant.

    J’ai également découvert un blog passionnant sur Néfertiti, pour ceux qui seraient des fans de cette reine d’Egypte tout comme moi.

    L’adresse c’est http://www.nefertiti.freeiz.com

  • jeff donald talla
    août 30, 2016

    tres edifiant

  • tupac
    mars 1, 2017

    que de mensonges.

    • manou
      mai 24, 2017

      Ou sont vos arguments ??? Avancez les si vous en avez!!!

  • Aziz
    mars 7, 2023

    Au niveau des bamouns , ça devient un ramassis de conneries 😂😂
    Faites de vrais recherches.. non des superstitions…ou des théories …
    Ton histoire ne tient pas la route..

    • Njitack
      mai 8, 2024

      Donc jusqu’à tout allait bien jusqu’au passage des bamoun? Hmm tu serais pas contrarié par un fait historique ? Les invasion peulh tu connais ? Va te renseigner sur la vrai histoire avec de venir vociférer. C’est des faits vérifiés et historiquement prouvable contrairement à certains

  • Bo
    avril 16, 2023

    Sahel Sahara pour prince bo